
Vous souhaitez mieux comprendre les prestations possibles avant de vous engager ? Nous sommes là pour vous renseigner.
Le marché du conseil écologique s’organise autour de trois piliers : le diagnostic, la stratégie, et l’accompagnement de la mise en œuvre.
Le diagnostic regroupe les bilans carbone, les analyses de flux, les audits énergétiques, ou encore les évaluations de circularité.
La stratégie correspond à la définition de trajectoires bas-carbone, de plans d’action ou de feuilles de route, alignés sur les référentiels (SBTi, CSRD, taxonomie, ISO 50001).
Enfin, l’accompagnement vise à faire vivre la transition dans l’entreprise : formation, pilotage de projets, animation managériale, évaluation des résultats.
Le problème, c’est que la plupart des prestataires s’arrêtent au diagnostic. Ils livrent des chiffres, rarement des leviers.
Chez AVP Conseil, nous considérons qu’un audit sans plan d’exécution, c’est un luxe inutile : la vraie valeur réside dans la transformation opérationnelle.
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Le bilan carbone est une photographie. Il mesure les émissions directes et indirectes d’une organisation, selon la méthode de l’ADEME ou le GHG Protocol.
Mais cette photographie n’a de valeur que si elle débouche sur un plan d’action chiffré, cohérent et réaliste : la feuille de route bas-carbone.
Celle-ci fixe des objectifs par poste d’émission (énergie, transport, achats, déchets) et identifie les leviers de réduction prioritaires.
Elle peut aller jusqu’à la projection “Net Zéro” en 2040 ou 2050, selon le secteur.
Beaucoup d’entreprises confondent “bilan carbone” et “stratégie carbone”. Le premier est un diagnostic ; la seconde, un cap collectif.
La SBTi (Science Based Targets initiative) est aujourd’hui le standard mondial de fixation d’objectifs de réduction alignés sur la science climatique.
Elle permet de prouver qu’une entreprise agit selon les scénarios de limitation à 1,5°C.
Les grands donneurs d’ordre (automobile, aéronautique, luxe) exigent désormais que leurs fournisseurs soient “SBTi-ready”, c’est-à-dire capables de calculer et justifier leurs objectifs.
L’intérêt n’est pas seulement réputationnel : il est économique. En structurant une trajectoire SBTi, une PME rationalise ses investissements bas-carbone et évite les dépenses dispersées. C’est un outil de pilotage avant d’être un label.
Un audit énergétique analyse les consommations, les pertes et les potentiels d’économies sur les équipements, procédés et bâtiments.
Il identifie les actions à retour sur investissement rapide (souvent inférieur à 3 ans) et constitue une base pour un plan de performance énergétique.
L’audit ne se limite plus à l’éclairage et au chauffage : il s’étend aux processus productifs, à la maintenance et aux utilités industrielles (air comprimé, vapeur, froid).
La clé, c’est de relier le diagnostic à la réalité des opérations.
Nous intervenons souvent après un audit technique pour transformer les recommandations en trajectoire mesurable : qui fait quoi, quand, avec quels indicateurs.
La CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) va imposer dès 2025 un reporting extra-financier très structuré à plus de 50 000 entreprises européennes.
Mais au-delà de la conformité, elle force à poser les bonnes questions : quels indicateurs suivre, qui en est responsable, comment relier la stratégie à la performance durable ?
Un accompagnement CSRD réussi ne consiste pas à remplir des tableaux, mais à intégrer la durabilité au cœur du pilotage.
C’est aussi l’occasion de construire une gouvernance plus claire, un dialogue renforcé avec les parties prenantes, et une communication crédible auprès des investisseurs.
Un plan de sobriété vise à réduire les consommations d’énergie sans dégrader la production ni la qualité de vie au travail.
C’est une approche managériale avant d’être technique : elle repose sur la mobilisation des équipes, la révision des pratiques et la hiérarchisation des usages essentiels.
Dans l’industrie, la sobriété ne signifie pas “moins produire”, mais mieux piloter les moyens de production.
Là où l’efficacité énergétique optimise les outils, la sobriété optimise les comportements. Les deux doivent être articulés, pas opposés.
L’écoconception consiste à intégrer la dimension environnementale dès la conception d’un produit, pour en réduire l’impact sur l’ensemble de son cycle de vie. Cela suppose une analyse fine des matériaux, des procédés, du transport, de la fin de vie et du recyclage.
Les gains sont souvent spectaculaires : réduction de 30 à 50 % de la matière utilisée, allongement de la durée de vie, baisse des coûts logistiques.
Mais l’écoconception n’est pas un exercice d’ingénieur isolé : c’est un projet collectif entre BE, production et achats.
Nous travaillons souvent sur des produits existants pour tester, itérer, démontrer que la soutenabilité peut être synonyme d’innovation.
Le plan RSE est souvent perçu comme un document de communication interne : il liste des engagements, des actions symboliques, parfois déconnectées de la stratégie.
La transition écologique, elle, engage le modèle d’affaires, la gouvernance et les flux de production.
C’est une logique de transformation, pas d’affichage.
Chez AVP Conseil, nous défendons une idée simple : la transition écologique est une démarche industrielle avant d’être morale. Et c’est précisément parce qu’elle touche au cœur du métier qu’elle devient durable.
Centrale.
On ne transforme pas une entreprise sans élever le niveau de compétence de ceux qui la font tourner.
La formation doit être intégrée à chaque étape : comprendre les enjeux carbone, piloter les indicateurs, repérer les gains possibles, impliquer les opérateurs.
Chez AVP Conseil, nous formons les équipes à devenir actrices de leur propre transition, pas simples exécutantes d’un plan conçu ailleurs. C’est ce qui garantit la pérennité du changement.
🧭 Lire : Répondre aux enjeux de compétences dans la transition écologique des entreprises
Confondre “bilan carbone” et “plan d’action”.
Déléguer entièrement la transition au consultant, au lieu de la porter en interne.
Chercher le “zéro défaut” avant même d’avoir commencé.
Ces erreurs sont classiques, mais elles se corrigent vite dès qu’une gouvernance claire et un plan de suivi sont en place.
La clé du succès n’est pas la perfection technique, mais la progression continue.
🧭 Voir aussi : Transition écologique – 5 pièges qui font échouer les feuilles de route
Nous accompagnons les acteurs de l’industrie qui veulent faire de la transition un levier de compétitivité.
Notre ancrage en Nouvelle-Aquitaine nous permet d’intervenir au plus près du terrain, dans des secteurs exposés, complexes… mais riches en potentiel de transformation.
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